American Horror Story : 3 infos à retenir du premier épisode de la saison 7

American Horror Story : 3 infos à retenir du premier épisode de la saison 7

La septième saison d'American Horror Story a démarré mardi soir dernier sur la chaîne FX. Si les acteurs ont jusqu'à présent teasé cette saison comme la plus effrayante et la plus réussie, le premier épisode semble conforter leurs propos. Voici trois infos à retenir.

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1- Les emm**des arrivent avec Donald Trump

Au commencement… Donald Trump. Et oui, comme prévu, le point de départ de cette nouvelle saison d’American Horror Story sont bien les élections américaines. Si les résultats ont ravi Kai, le personnage d’Evan Peters, ils ont en revanche détruit Ally, incarnée par Sarah Paulson. Deux opposés, deux évolutions différentes, l’une caaaarrément plus extrême que l’autre (on va pas se mentir)… et un point de départ absolument parfait pour toutes les horreurs qui s’en suivent.

2- Les phobies au cœur du fantasme de Murphy

Ryan Murphy adore jouer avec nos peurs. Maison hantées, hôpital psychiatrique, torture, vampires, malédictions… il a jusqu’à présent surfé sur beaucoup de sujets creepy. Mais c’est clairement pour cette saison 7 qu’il s’offre le plus d’horreur. Car oui, le showrunner a décidé de jouer sur les phobies dans cette saison d’American Horror Story. Trypophobe (peur des trous), coulrophobe (peur des clowns), agoraphobe (peur de la foule) et claustrophobe (peur des petits espaces), Ally est sujette à beaucoup d’angoisses et plonge le spectateur avec elle. Le pire ? C’est que c’est que le début. Cf la fameuse scène du supermarché…

3- Une vraie critique derrière le gore

Ce qui conforte pour l’instant Cult dans le top des meilleures saison d’American Horror Story, c’est la critique derrière l’horreur. Ryan Murphy a clairement voulu lancer un appel avec les élections de novembre 2016 et s’offre une métaphore troublante. Kai, ravi de retrouver Trump au pouvoir est une personnage clairement détestable, manipulateur, homophobe, raciste… le bouquet parfait, en bref. Et derrière les clowns effrayants et les quelques jump-scares, le showrunners veut montrer l’état de certaines villes américaines, les mentalités parfois troublées et les injustices devenues terriblement banales.

Vivement la suite.

Aurelia Baranes

Aurelia Baranes

Co-fondatrice - Directrice de Publication

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