Evil Dead Rise : l’obsession ciné de la semaine

Evil Dead Rise : l’obsession ciné de la semaine

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Alors qu’elle a terrorisé le public dans les années 80 et 90, la franchise renaît aujourd’hui de ses cendres à travers Evil Dead Rise, une nouvelle aventure horrifique signée Lee Cronin. Parfait pour s’offrir de puissants frissons le temps de quelques heures !

C’est quoi ?

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© Warner Bros

S’il s’agit toujours d’une histoire de possessions démoniaques, Evil Dead Rise suit cette fois-ci les péripéties de Beth, une jeune femme partie retrouver sa grande sœur Ellie qu’elle n’a pas vue depuis longtemps. Mais alors qu’elle la rejoint dans son petit appartement de Los Angeles, où cette dernière vit seule avec ses trois enfants, la réunion de famille vire à la catastrophe quand un mystérieux livre plein de ténèbres émerge des entrailles de l’immeuble. Sa lecture libère ainsi des forces maléfiques qui s’emparent de la mère de famille, transformant ainsi peu à peu ce nid douillet de la cité des anges en véritable tombeau…

Y’a qui ?

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© Warner Bros. Pictures

Fort d’un casting relativement jeune, Evil Dead Rise est porté par Alyssa Sutherland, célèbre pour avoir campé Aslaug dans Vikings, et Lily Sullivan (The Other Guy). A leurs côtés, on retrouve ensuite Gabrielle Echols (Reminiscence), Morgan Davies (The End), Nell Fisher (My Life is Murder), Mirabai Pease (Head High), Anna-Maree Thomas (The Sounds) ou encore Richard Crouchley (Black Hands).

C’est un peu comme…

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© Warner Bros / UGC Distribution

A l’image de Shining et Amityville : La maison du diable, Evil Dead Rise met en scène une histoire de possession au sein d’une famille. On y retrouve donc des personnages confrontés à la folie monstrueuse et soudaine de leurs proches, déchirés entre l’envie d’aider leurs êtres chers et le besoin de leur survivre. Ainsi, lorsque l’horreur frappe à la porte d’Ellie, la frontière entre l’amour et la haine tend ainsi à s’effacer, laissant place à un torrent d’émotions assassines. De quoi rappeler les fièvres meurtrières de Jack Torrance et George Lutz, qui ont donné des sueurs froides à de nombreux spectateurs.

Le détail qui change tout ?

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© Warner Bros

Alors que la franchise Evil Dead a habitué les fans à des intrigues situées au fin fond de la forêt, dans une cabane isolée, Lee Cronin a décidé d’offrir un nouveau souffle à la saga en ancrant l’histoire de ce nouveau volet en plein cœur de Los Angeles. A l’image du dernier chapitre de Scream, qui a également quitté son traditionnel Woodsboro pour New York, Evil Dead Rise s’empare de l’atmosphère citadine afin de développer une nouvelle dimension horrifique. C’est donc dans un petit appartement d’un quartier délabré que la famille d’Ellie doit faire face aux puissances obscures du Livre des Morts. Un décor plus cosy que d’habitude, qui exacerbe alors le côté cauchemardesque de la situation. 

Retrouvez Evil Dead Rise au cinéma dès ce mercredi 19 avril.

Alexia Malige

Alexia Malige

Journaliste

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