La Petite Maison dans la Prairie : « J’ai l’ai vu souffrir », Melissa Gilbert se confie sur la mort brutale de Michael Landon

La Petite Maison dans la Prairie a bercé le quotidien de millions de téléspectateurs à travers le monde. Michael Landon, créateur de la série, a profité de son succès et de son équipe, avant de finalement rendre son dernier souffle en 1991, des suites d’un cancer du pancréas. Une mort qui a bouleversé le globe, mais aussi Melissa Gilbert.

De 1974 à 1983, La Petite Maison dans la Prairie a défini ce qu’était la télévision et les westerns du petit écran. La création de Michael Landon perdure encore dans le temps aujourd’hui et est toujours considérée par l’industrie et le public comme un pilier de ces décennies. Ce fut donc un véritable coup de tonnerre quand en 1991, soit près de dix ans après la fin de la série, l’interprète de Charles Ingalls s’est éteint, seulement quelques mois après le diagnostic de son cancer. En 2024, Melissa Gilbert s’est entretenue avec People pour rendre un dernier hommage à son ami.

La Petite Maison dans la Prairie : Melissa Gilbert toujours sous le choc de la mort de Michael Landon

Au magazine américain, Melissa Gilbert a révélé qu’elle avait eu énormément de mal à digérer la mort de son père à l’écran et est notamment revenue sur la souffrance que Michael Landon a endurée pendant des mois : « C’est vraiment une maladie brutale et pernicieuse. Pour moi, c’est comme une tornade. Vous n’avez aucun avertissement. Elle est juste là et le taux de survie est pratiquement nul. J’ai vu Michael souffrir d’une méningite, d’os cassés, d’un grand nombre de maladies au cours de notre vie commune, mais cette maladie l’a emporté et l’a décimé si rapidement« .

Un dernier hommage vibrant à Michael Landon

Melissa Gilbert a également profité de son échange avec le média US pour rendre un ultime hommage à son ancien partenaire de jeu de La Petite Maison dans la Prairie, en soulignant la bravoure et le courage de Michael Landon : « Cet homme était l’incarnation du bien-être physique. Je l’ai toujours décrit comme un triangle renversé : si fort, en si grande forme, si sain. Et de voir cela arriver si vite et si violemment, c’était comme un ennemi que je voulais vaincre« .