Toutes les séries ont leur mean girl, cette fille un peu peste qui pourrait détruire votre vie si vous faites quelque chose qui lui déplaît. Elles ne mènent pas la vie facile aux autres personnages mais cachent parfois un côté sensible sous leur masque d’arrogance. Retour sur ces mean girls qu’on adore détester.
La cheerleader de Riverdale a des airs de pestes et l’attitude qui va avec. Pourtant, au cours de la série, on découvre qu’il ne s’agit que d’une facette et qu’elle souffre bien plus qu’il n’y parait, d’autant plus maintenant que son frère est mort.
Dès sa première apparition, on sait qu’elle va rendre la vie impossible aux autres personnages. Elle n’est pas du genre à mâcher ses mots et maitrise le sarcasme mieux que personne. Mais au cours des saisons, elle se révèle être plus sensible qu’elle ne le laisse paraitre, notamment lors de son coming-out.
Chanel est un véritable tyran. Elle martyrise tout le monde et elle est prête à tout pour garder son poste au sein de la Kappa Sorority. Si on devait décerner le titre de mean girl suprême à une des filles de cette liste, il lui reviendrait haut la main.
Si l’égoïsme devait avoir un visage, il aurait le visage de Katherine. Le sosie d’Elena n’hésite pas à utiliser tout ceux qui croisent sa route, et même les personnes qui lui sont proches, pour parvenir à ses fins. Rien ne peut l’arrêter quand elle a une idée derrière la tête.
Naomi est une fille difficile et capricieuse. Elle n’hésite pas à mentir ou à manigancer pour obtenir ce qu’elle veut, ce qui lui a attirer pas mal de problèmes au cours de la série. Pourtant, elle pourrait tout faire pour venir en aide à ses amies, ce qui finit par nous la rendre sympathique.
Petra est une femme brillante et très ingénieuse. Cependant, elle n’est pas pour autant gentille. Au contraire, elle est assez égoïste et fait passer ses propres désirs bien avant ceux des autres.
Tout comme la plupart des mean girls, Sadie est populaire mais n’est pas pour autant très appréciée. Elle est un stéréotype ambulant, mais reste humaine malgré tout. Elle est notamment très complexée par son poids.
Nouvelle recrue des cheerleaders, elle essaie de remplacer Brooke au sein de l’équipe mais également de lui prendre son copain, Lucas. Son attitude nous la rend immédiatement désagréable et on a du mal à vraiment l’apprécier.
Contrainement à sa sœur jumelle, Emily, elle est populaire, arrogante et superficielle. On a envie de lui mettre des claques dès le premier épisode et de lui demander de réfléchir avant de parler.
Juliette essaie de prendre la place de reine de la country de Rayna Jaymes. Elle est belle, a confiance en elle et veut toujours être la meilleure quoi qu’il arrive.
Elle a la réputation de se droguer et de coucher avec un tas de mecs. Elle est aussi très colérique, ce qui créé des tensions avec un tas de personnes, même avec Daniel, son petit ami.
Elle est une pom-pom girl populaire de Sunnydale (non, non c’est pas cliché du tout). Elle intègre le groupe de Buffy, le Scooby-gang, mais reste tout de même égocentrique et insupportable.
Il faut l’avouer, les Mean Girls donnent du piquant aux séries et alimentent l’intrigue comme personne d’autre. Sans elles, les personnages principaux auraient souvent l’air bien fades. C’est plus vrai que jamais avec Blair Waldorf. Serena a beau être le personnage majeur de Gossip Girl, c’est Blair qui est le pilier de la série. Elle est déterminée, courageuse, manipulatrice et est capable de tout pour obtenir ce qu’elle veut. Lorsqu’elle a une idée en tête, rien ni personne ne peut l’arrêter, sauf peut-être Chuck Bass qui est tout aussi manipulateur qu’elle.
En général, on compte deux types de mean girls : les insupportables, celles que l’on a envie de frapper pour leur faire comprendre combien elles nous sortent par les yeux. Dans cette catégorie là, il y a Sadie Saxton, la petite peste d’Awkward. Une véritable tête à claque. Puis, il y a la deuxième catégorie. Celle des mean girls arrogantes et fourbes mais qui ont un bon fond. Ce sont les méchantes auxquelles on finit par s’attacher parce qu’elles ne sont pas si garce que ça, comme Santana Lopez de Glee et Cheryl Blossom de Riverdale par exemple. Elles ont beau rendre la vie impossible à Rachel Berry et Betty Cooper (parfois même pour notre plus grand plaisir), on est incapable de leur en vouloir. Au contraire, elles sont plus intéressantes et plus attachantes qu’une grande partie des personnages.
De la plus peste à la plus manipulatrice, de la pom pom girl clichée en passant par la langue de vipère, focus sur les meilleures Mean Girls de séries.
