10 bad boys de séries qu’on ne peut pas s’empêcher d’aimer

10 bad boys de séries qu’on ne peut pas s’empêcher d’aimer

Ils sont aussi indispensables à nos séries préférées que les mean girls. Bienvenue au panthéon des bad boys du petit écran. Et aujourd’hui, Serieously en a sélectionné dix qu’on ne peut pas s’empêcher d’aimer.

Chuck Bass de la série populaire Gossip Girl

Chuck Bass Gossip Girl Ed Westwick
©The CW

Au départ, Chuck Bass a tout du fils à papa exécrable, qui se croit tout permis et n’a aucune limite. Dans le pilote de Gossip Girl, il commet pas moins de deux tentatives de viol : la première sur Serena, la seconde sur Jenny. Heureusement il est arrêté à temps à chaque fois. Puis, au fil des épisodes, les téléspectateurs apprennent à le connaître davantage. Sous ses airs de bad boy, se cache un garçon en souffrance (notamment à cause d’une situation familiale des plus tordues). Ajoutez à cela une relation passionnelle avec l’héroïne Blair et vous obtenez l’un des personnages préférés du public.

Damon Salvatore – The Vampire Diaries

The Vampire Diaries
© The CW

Introduit comme le « méchant » frère au début de The Vampire Diaries (par rapport au « gentil » Stefan), Damon gagne d’emblée le coeur des fans, et pas seulement grâce à sa veste en cuir sexy. Tu m’étonnes ! Son côté dangereux fascine, intrigue et plaît… même si l’on ne tarde pas à découvrir d’autres facettes, plus humaines et authentiques, de sa personnalité.

Alex Karev dans la série médicale Grey’s Anatomy

Alex Karev Grey's Anatomy séries
© ABC

Introduit comme le personnage underdog, aussi agaçant qu’imbus de lui-même, Alex Karev est le vilain petit canard de la bande d’internes. Les saisons avancent, et lui-même se découvre certaines facettes qu’il ne soupçonnait pas. L’exemple le plus symbolique est qu’il a toujours cru qu’il se dirigerait vers la chirurgie plastique, avant d’opter finalement pour la pédiatrie (devant son amour des enfants). Il finit même par devenir la « personne » de Meredith après le départ de Cristina. Bref, en 14 saisons de Grey’s Anatomy, Alex est sans aucun doute le personnage qui a le plus (et le mieux) évolué.

Klaus Mikaelson – The Originals

séries The Originals
© The CW

Un bad boy n’était pas assez dans The Vampire Diaries. C’est la raison pour laquelle les scénaristes ont introduit le personnage de Klaus à partir de la deuxième saison. Il est vampire et loup-garou, ce qui fait de lui un hybride et un big bad ultra charismatique. C’est sans doute pour ça (+ son succès incontestable auprès des fans) qu’il décroche ensuite son propre spin off : The Originals. Complexe, mystérieux, dangereux, Klaus est la preuve même qu’un bad boy pur et dur peut porter une série à succès sur ses épaules.

Cole Turner dans la série Charmed

Charmed Cole Turner Séries
© CBS Paramount International

On dit souvent des bad boys qu’ils sont mi-ange mi-démon. Pour Cole Turner, c’est littéralement le cas. Dès la saison 3 de Charmed, les scénaristes installent la love story la plus sexy (et interdite) de la série : celle entre Phoebe et Cole, aka le démon Balthazar. Son sourire charmeur fait très vite craquer la benjamine des Halliwell. Leur histoire dure un certain temps, même après que Phoebe ait découvert la véritable identité de Cole. La série joue énormément sur les deux facettes opposées de son personnage, ayant conscience que c’est ce qui plaît aux fans. Spoiler alert : ils ne terminent pas ensemble.

Mike Delfino de la série Desperate Housewives

Desperate Housewives
© ABC

Oui, ça peut sembler étonnant de voir Mike au milieu de tous ces bad boys… mais n’oublions pas que le mari de Susan a un passé des plus sulfureux. Ancien drogué, il a fait de la prison après s’être battu à mort contre un policier (on précise néanmoins que c’est de la légitime défense). Là encore, ses erreurs de parcours peuvent s’expliquer par une situation familiale compliquée (décidément !) : son père battait sa mère sous ses yeux, avant d’être incarcéré pour meurtre. Quoi qu’il en soit, dès le début de Desperate Housewives, Mike plaît aussi bien à Susan et Edie (coucou le triangle amoureux) qu’aux téléspectatrices pour son côté mystérieux et bad boy sur les bords.

Spike – Buffy contre les vampires

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The WB

Dire que son personnage était censé mourir au bout de quelques épisodes… 20 ans après, impossible d’imaginer Buffy contre les vampires sans lui ! Présenté comme le grand méchant de la saison 2 (avec Drusilla), Spike a toute la panoplie du bad boy des années 90, de la veste en cuir noire à la coloration blond platine (quoique…). Et pourtant, il devient vite une valeur sûre auprès des téléspectateurs. À son retour dans la saison 4, la perte de ses pouvoirs font de lui l’atout comique de la série, ayant le mot qu’il faut/la réplique qui tue dans chaque situation. On se demande même si sa relation abusive avec le personnage de Buffy, lors des dernières saisons, n’a pas un peu inspiré celle entre Chuck et Blair de Gossip Girl.

Jess Mariano – Gilmore Girls

Gilmore Girls Séries Jess
© Warner Bros

Jess est une vraie tête-à-claques quand il débarque à Stars Hollow. Arrogant, râleur, voyou… son attitude de bad boy n’est qu’une façade pour combler son manque de confiance en lui, dû à sa situation familiale compliquée et son mauvais niveau scolaire. Mais tout ça ne laisse pas indifférent notre Rory, au grand dam de sa grand-mère Emily. Son goût prononcé pour l’art et son désir de s’en sortir vont finalement rattraper Jess et le remettre sur le droit chemin, en même temps que sa relation avec Rory. Bad boy un jour, mais pas toujours.

Connor Walsh – How To Get Away With Murder

How to get away with murder
© ABC

Depuis le premier épisode de How To Get Away With Murder, Connor semble toujours en colère. Dragueur invétéré, adepte des coups d’un soir, son idylle avec Oliver le remet sur le droit chemin d’un point de vue sentimental. Néanmoins, alors que la série en est actuellement à sa quatrième saison, on constate que Connor se veut toujours aussi rebelle et autodestructeur. En même temps, après tout ce qu’il a vécu au côté d’Annalise, on comprend que son côté bad boy finisse par remonter à la surface…

Roberto Arenales de la série Un, Dos, Tres

© Antena 3

Dans Un, Dos, Tres, Roberto est autant à l’opposé de Pedro que Lola est à l’opposé d’Ingrid et Silvia. Le personnage culte, incarné par Miguel Angel Munoz, est arrogant, narcissique, capricieux et séducteur. À côté de ça, il est bourré de talent, ultra charismatique et plus sensible qu’il n’en a l’air. Et, on ne va pas se mentir, c’est lui qui donne à la série tout son piquant et son côté caliente. Pas étonnant qu’il soit le chouchou des fans depuis le premier jour.

Eliott Azoulai

Eliott Azoulai

Journaliste

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