Un gars, une fille : « c’était l’enfer » qu’est-ce que Jean Dujardin détestait dans la série culte ?

Série culte des années 2000, Un gars, une fille a propulsé Jean Dujardin au rang de star. Mais derrière les rires et la complicité à l’écran, l’expérience n’a pas toujours été idyllique pour l’acteur…

Si les sketchs du couple Chouchou & Loulou ont marqué toute une génération, Jean Dujardin, lui, garde un souvenir… un peu plus sombre de cette série culte diffusée sur France 2. L’acteur oscarisé est revenu dessus et balance tout.

Loulou avait besoin d’espace !

Dans une interview donnée au magazine Running Heroes, il revient sans détour sur ce qu’il a vraiment vécu pendant le tournage. Spoiler : ce n’était pas que du fun. Pour Jean Dujardin, les plateaux de tournages étroits ont été un vrai cauchemar. « C’était l’enfer. C’est pour cela qu’à la troisième saison, on a négocié des voyages et des extérieurs, après trois ans de cuisine et de salle de bains. Quand, en une journée, tu fais trois épisodes dans un pieu et que tu rentres te coucher le soir chez toi, je peux te dire que tu ne trouves pas le sommeil tout de suite« 

C’est ainsi que les fans de la série se sont retrouvés plus tard avec des scènes se déroulant notamment au ski ou à la plage pour suivre les aventures de Chouchou et Loulou. Un changement qui fera le plus grand bien à l’acteur et sa compagne de l’époque et partenaire à l’écran, Alexandra Lamy. Mais l’étroitesse n’était pas le seul souci derrière les caméras de Un gars, une fille.

« Les hommes étaient plus scandalisés que les femmes »

Autre point d’ombre sur cette série culte : l’inégalité salariale. Alexandra Lamy avait révélé en 2018 au quotidien belge La Dernière Heure qu’elle touchait trois fois moins que Jean Dujardin, alors même qu’ils partageaient l’écran à 50/50.

« Je ne touchais que le tiers du salaire de Jean, alors que la série était produite par trois femmes« , expliquait-elle. Mais Dujardin ne s’est pas tu : « Jean s’est rendu dans le bureau des productrices et a exigé que je gagne la même chose que lui, sinon il quittait le programme. Les hommes étaient plus scandalisés de cette situation que les femmes« , raconte-t-elle.