Harry Potter : « les films ne sont pas importants » cette actrice tacle la saga

L’actrice Miriam Margolyes, connue pour avoir incarné le professeur Chourave, dans Harry Potter, s’est confiée ce mardi 13 juin sur son expérience dans la saga adaptée des romans de J.K. Rowling. Et elle ne mâche pas ses mots sur la franchise du petit sorcier à lunettes… Détails. 

Harry Potter est loin de faire l’unanimité. Si la saga magique a conquis des millions de fans à travers le monde, Miriam Margolyes, incontournable Pomona Chourave, a récemment critiqué les films de la Warner, dans lesquelles elle a joué à deux reprises, dans un entretien accordé à Vogue UK.

Bien qu’elle soit célèbre pour ses rôles dans James et la pêche géante, Babe, Le Temps de l’innocence de Martin Scorsese ou encore Call the Midwife, c’est surtout son apparition dans les films Harry Potter qui l’ont fait connaître auprès du grand public. Films que Miriam Margolyes ne semble pas porter dans son cœur, notamment parce qu’elle estime avoir été mal payée.

« Ce n’est pas du Charles Dickens », a déclaré Miriam Margolyes à propos de la saga Harry Potter

Les mandragores ont visiblement laissé un souvenir impérissable à Pomona Chourave. Et pourtant, ce ne sont pas les cris de ces créatures magiques qui ont terni sa vision de la saga. « Pour moi, Harry Potter n’était pas important », a déclaré sans détour l’interprète de la professeure de botanique. « J’étais très contente d’avoir obtenu le rôle et j’ai apprécié y participer et rencontrer tous ces gens, mais ce n’est pas du Charles Dickens », a-t-elle ajouté.

Celle qui a incarné la directrice de la maison Poufsouffle dans Harry Potter et la Chambre des secrets et Harry Potter et les Reliques de la Mort, partie 2 se montre tout de même reconnaissante vis-à-vis des fans de la franchise. « Les gens viennent me voir pour me dire qu’ils m’aiment et me serrer dans leurs bras. Et c’est juste impressionnant », a affirmé la comédienne.

Miriam Margolyes se souvient également comment un célèbre magazine britannique l’a qualifiée de « trésor national » lors de la sortie du deuxième opus. « J’aime cette idée même si je ne suis pas d’accord. Cela reste une qualification amusante et honorifique », a-t-elle admis au magazine britannique.