House of the Dragon : Emily Carey (Alicent) a confié avoir eu très peur des scènes de sexe avec Paddy Considine (Viserys)

Si House of the Dragon comporte moins de scènes de sexe que Game of Thrones, elles n’en sont pas moins redoutées par les acteurs de la série. C’est le cas d’Emily Carey, l’interprète de la jeune Alicent Hightower, qui a confié avoir eu peur de tourner les moments d’intimité avec Paddy Considine.

Si vous avez vu l’épisode 4 de House of the Dragon intitulé « Le roi du Détroit », vous n’êtes sûrement pas passé à côté de la scène de sexe quelque peu embarrassante entre Alicent et Viserys. Si les épisodes précédents avaient eu le mérite de ne pas montrer la consommation de leur mariage, celui-ci n’hésite pas à montrer la gêne de la jeune reine vis-à-vis du roi des Sept Couronnes.

Dans une interview accordée au magazine américain Newsweek, l’actrice et mannequin britannique a déclaré qu’elle appréhendait tourner des scènes de sexe sachant qu’elle avait 17 ans au moment de la lecture des scripts et 18 lors du tournage de la première saison.

« Ça m’a fait peur » a révélé Emily Carey, l’interprète d’Alicent dans House of the Dragon

« J’avais 17 ans la première fois que j’ai lu mes scènes de sexe dans la série, y compris celle où je baigne le roi. » a rappelé Carey avant d’ajouter : « mais ça m’a fait peur, parce qu’à ce moment-là, je n’avais toujours pas rencontré Paddy [Considine], je ne le connaissais pas et je ne savais pas à quel point il allait rendre la scène facile. Tout ce je voyais, c’est qu’il avait 47 ans et moi, j’étais un peu inquiète. »

Heureusement, Emily Carey a bénéficié de l’aide d’une coordinatrice d’intimité pour veiller à son bien-être lors du tournage des séquences intimes de sorte à créer « un dialogue ouvert » entre la coordinatrice, l’actrice et son partenaire à l’écran.

Outre le professionnalisme de Paddy Considine, l’interprète d’Alicent a tenu à souligner le soutien précieux de sa coordinatrice d’intimité : « dans la salle de répétition, elle m’a été d’une grande aide, tout comme sur le plateau de tournage. Oui, c’était beaucoup plus facile que je ne le pensais.«