8 choses que l'on retrouve dans toutes les séries horrifiques

8 choses que l’on retrouve dans toutes les séries horrifiques

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Ah les séries d'horreur. Débauche de personnages plus glauques les uns que les autres, des intrigues complexes pour nous faire frissonner à chaque épisode... Mais au fait, c'est quoi les ingrédients d'une série horrifique ? On vous propose ici huit ingrédients incontournables.

On exorcise comme on va chez le boulanger

 

Si un personnage est possédé, même dans la plus petite ville possible, on trouve un exorciste relativement vite. Un coup de fil, deux trois recherches sur le dark web et l’expulseur de Satan professionnel réplique en deux secondes avec sa valise et son chapeau. Forcément quand il rencontre la personne concernée par l’exorcisme, il ne pourra s’empêcher de dire : « Je n’avais encore jamais vu ça… »

Les portes qui grincent sont encore autorisées

 

Même si la série est toute récente, des petits tropes propres aux films d’horreur sont encore utilisés… Comme l’excès de brouillard même par 40 degrés, la descente d’escalier dans le grenier ou la cave à vin et surtout, la porte qui grince… On se demande comment des gonds de porte mal huilés peuvent encore représenter 90% des peurs primaires chez le public. Mais ça marche toujours.

Les musiques qui accélèrent aussi

 

On donne tout dans la musique. Souvent, un violon qui crisse ou une montée de notes accentuent l’attaque imminente ou la mort qui rôde… Héritage largement emprunté au cinéma, notamment chez Alfred Hitchcock, on continue d’utiliser cet outil musical pour appuyer une scène clef. Ça rate rarement.

Une mère cache forcément un enfant bizarre dans un placard

N’est-ce pas Constance Langdon ? Effectivement, les séries horrifiques sont un terrain fertile pour toutes les familles dysfonctionnelles et dangereuses. Une maman qui cache un gamin dans un grenier depuis 20 ans, ou une autre qui enferme sa fille dans un asile, mieux vaut se tenir à carreau avec ses parents.

Personne ne vit dans une chaumière

 

Tout le monde est super riche. Pour que l’intrigue se déroule comme sur des roulettes, il faut avoir les moyens de se payer une baraque immense, car qui dit baraque immense dit cadavre coupé en morceau dans les murs, démons cachés dans la cheminée et tueur en série qui rode dans le jardin de 10 hectares. En gros, une série horrifique qui se passe dans un deux pièces, ça ne fait rêver personne. Il faut de la place pour s’échapper rapidement des griffes d’un psychopathe à la tronçonneuse.

Un crime non résolu depuis 60 ans passionne toujours 3 personnes

Les protagonistes qui arrivent dans une nouvelle ville trouvent toujours des voisins glauques qui proposent de revenir sur un fait divers datant d’il y a mille ans et dont tout le monde se moque, mais comme les voisins sont bizarres, ils en rajoutent des tonnes pour dire que c’est LE pire drame ever. Évidemment ça implique que des enfants en bas âges soient morts dans d’atroces souffrances.

Le psy devient plus fou que son patient

La psychiatrie est très souvent convoquée dans les séries horrifiques. La plupart du temps, on suit les séances d’un patient qui a commis UNE GROSSE GROSSE bêtise il n’y a pas si longtemps et le psy est censé le soigner, évidemment. Mais le patient est si torturé ou détient des pouvoirs maléfiques qui font que le docteur devient plus maboule que le patient. Game over.

Le générique doit être es-thé-tique

 

Point fort des séries horrifiques, les génériques sont souvent superbes… Pas forcément d’hémoglobine à gogo mais des couleurs chaudes et des design exceptionnels. Beaucoup d’affiches promotionnelles suivent également ce modèle et sont parfois mêmes de vrais bijoux visuels.

Les séries où ça arrive : Santa Clarita Diet, Hannibal, American Horror Story et Scream Queens

Hannah Benayoun

hannah@serieously.com

Je suis la fille spirituelle de Leslie Knope (Parks and Recreation) & Thomas Shelby (Peaky Blinders).
En ce moment, mon Snack&Chill idéal c'est Bo Bun légumes devant Friends.

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