Don’t F∗∗k With Cats : 5 raisons de regarder le docu-série Netflix sur le dépeceur de Montréal

Don’t F∗∗k With Cats : 5 raisons de regarder le docu-série Netflix sur le dépeceur de Montréal

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Le dépeceur de Montréal, c’est sous ce surnom que l’on connaît Luka Magnotta, l’homme derrière l’un des faits divers les plus gores de ces dix dernières années. Netflix a consacré un docu-série à cette sordide histoire et on vous donne 5 bonnes raisons de vous laisser tenter.

Les docu-séries policiers de Netflix sont super cool

Après l’excellent Making a Murderer et, dernièrement Grégory, Netflix nous prouve une chose : la plateforme maîtrise les docu-séries sur fond d’enquêtes policières. Et c’est bien là une très bonne raison de se laisser tenter par le docu-série Don’t F∗∗k With Cats : Un tueur trop viral ; car elle nous promet une nouvelle plongée dans les confins de la démence.

C’est un des faits divers qui a passionné le monde entier

Si Luka Magnotta était déjà plus ou moins connu d’Internet, où il publiait des vidéos de lui en train de torturer des chatons, c’est en 2012 qu’il fait un passage à l’acte impardonnable : il tue un étudiant chinois qu’il avait rencontré sur un site de dating homosexuel, Jun Lin, puis se filme en train de le torturer, le violer et le découper, dans une vidéo appelée 1 Lunatic, 1 Ice Pick. Ensuite, il envoie par la poste les parties de son corps à quelques bureaux stratégiques de la vie politique montréalaise avant de prendre la fuite vers la France. Dès lors se poursuit une chasse à l’homme médiatisée qui se terminera quelques semaines après à Berlin, dans un cyber-café où l’homme est retrouvé.

Luka Magnotta est considéré comme le premier tueur d’Internet

Si, dans les faits, ce n’est pas tout à fait vrai, Luka Magnotta est considéré comme le premier tueur d’Internet. Une pseudo notoriété qui en a fait un homme désiré par quelques personnes qui n’ont visiblement pas toute leur tête… Rappelez-vous, depuis sa cellule de prison (où il a pris perpet’), Luka Magnotta recevait, à l’époque, des lettres d’amour de personnes fascinées d’avoir pu regarder en ligne cette vidéo bien (bien) gore.

Pour mieux découvrir la psychologie d’un homme qui en a torturé un autre

Si le docu Netflix devrait insister sur la période où Luka Magnotta torturait des chatons plutôt que des hommes, c’est toujours intéressant de pouvoir se glisser dans une psychologie que l’on ne comprend pas toujours. Difficile d’imaginer le passage à l’acte d’un mec qui a tour à tour tué, violé, torturé et découpé en morceaux un autre homme. Don’t F**k With Cats devrait nous permettre, peut-être, d’éclaircir un peu l’affaire et d’en comprendre tous les tenants et les aboutissants.

Parce qu’on adore les faits divers

Si on adore les histoires de Noël gniangnians, une partie de nous ADORE les faits divers et c’est normal. Aussi fascinants que répugnants, ils provoquent chez nous une certaine stimulation cérébrale (true story) qui nous sort de notre quotidien. Don’t F**k With Cats sort dès le 18 décembre sur Netflix et sera, à priori, découpée en trois épisodes.

Amandine Rouhaud

Amandine Rouhaud

Journaliste

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