GOAT : pourquoi ce film d’animation avec Stephen Curry va enflammer l’année 2026 ?
Publié le Par Alexia Malige

A l’occasion du festival international du film d’animation d’Annecy, Sony Pictures Animation a présenté les premières images de GOAT, son prochain film événement. Un long-métrage centré sur le basket-ball, qui a d’ores et déjà conquis le public présent dans la grande salle de Bonlieu.
Après la saga Spider-Man, qui a émerveillé le monde entier grâce à son animation pop, colorée et résolument singulière mêlant 2D et 3D, Sony Pictures Animation mise sur un tout autre univers pour toucher une nouvelle fois le public. Avec GOAT, les studios ont choisi, cette fois-ci d’explorer le monde du basket-ball et toute la culture qui l’entoure et ce, avec beaucoup d’humour. C’est donc à travers une comédie haute en adrénaline, mais aussi et surtout en style, que le réalisateur Tyree Dillihay a souhaité rendre hommage à ce sport cher à son coeur.
Les premières images de ce projet original ont alors été présentées au festival d’Annecy par le cinéaste lui-même et sa productrice Michelle Raimo-Kouyate, devant un public enjoué qui n’a pas caché son enthousiasme en découvrant les personnages, clips et autres concept art qui ont été dévoilés.
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De quoi parle le film GOAT ?
Ancré dans le monde du basket-ball, GOAT raconte donc l’histoire de Will Harris, un jeune prodige du roarball (variante animalière du basket), qui rêve de rejoindre la première league. S’il ne manque ni de talent, ni de motivation, Will a toutefois un problème : il est une chèvre. Et qui dit chèvre, dit animal de petite taille. Impossible alors pour lui de rivaliser avec les gigantesques chevaux, ours, girafes, panthères ou encore autruches qui évoluent au plus haut-niveau. Pourtant, alors que l’équipe des Vineland Thorns enchaîne défaites après défaites, la propriétaire du club va prendre la décision radicale de sortir des sentiers battus en recrutant un joueur étonnant que personne n’attendait sur le parquet : Will Harris. Ce dernier se voit donc confier la chance de sa vie, mais va vite réaliser que son rêve l’emmène tout droit vers des dangers auxquels il n’avait jusque là jamais songé.
Dans quel monde GOAT se déroule-t-il ?
A l’image de Zootopie, GOAT se déroule dans un monde uniquement peuplé d’animaux, où les humains n’existent pas. Leur territoire s’organise donc selon plusieurs régions, où les habitants sont répartis en fonction de leur espèce. Lors de la présentation animée par Tyree Dillihay et Michelle Raimo-Kouyate, le public d’Annecy a pu en découvrir six, qui possèdent chacune leur équipe de roarball. Parmi elles, on compte donc les Thorns, issus de la jungle, les Shivers venus de l’Arctique, les Magma qui vivent sur une île volcanique ou encore les Shadows, qui sortent tout droit d’une terre rongée par les stalactites et stalagmites. Autant de différences et de spécificités qui seront mises en lumière lors de chaque match du ROAR, où les joueurs devront composer avec le climat capricieux de l’arène locale. Car en plus de savoir dribbler, shooter et dunker, il faudra aussi être en mesure d’éviter les racines, de nager dans l’eau glacée et de slalomer entre les stalagmites…de quoi pimenter encore un peu plus le jeu !
Quels acteurs feront partie du casting vocal ?
Pour incarner ces incroyables athlètes, Sony s’est tourné vers un casting vocal particulièrement réjouissant, qui a de quoi attirer l’attention du public. On retrouvera ainsi Caleb McLaughlin (Stranger Things) dans le rôle de Will Harris, David Harbour (Thunderbolts), Gabrielle Union (Tout à fait son style), Nicola Coughlan (Bridgerton), Jenifer Lewis (Black-ish), Nick Kroll (Big Mouth), mais aussi et surtout la star du basket-ball américain Stephen Curry. Ce dernier, qui officie par ailleurs comme producteur, prêtera ainsi sa voix à Lenny Williamson, une Girafe qui survole le championnat grâce à sa grande taille. Une nouvelle alléchante pour les amateurs de NBA, qui seront certainement heureux de découvrir le meneur des Warriors de Golden State dans un rôle différent.
GOAT sortira au cinéma le 18 février 2026.

Alexia Malige
Journaliste - Secrétaire de rédaction