La Casa de Papel : les 10 plus grosses incohérences de la saison 4

La Casa de Papel : les 10 plus grosses incohérences de la saison 4

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La saison 4 de La Casa de Papel vient tout juste de sortir pour notre plus grand plaisir. Même si on a apprécié cette suite, de nombreuses incohérences et erreurs sont à noter. En voici dix !

Aviez-vous remarqué ces dix incohérences dans la saison 4 de La Casa de Papel ? Parce que de notre côté, c’était bien flagrant. Mais bon, comme on dit, rien n’est parfait, et si Le Professeur a toujours un plan de secours pour sauver ses potos, il n’aurait jamais pu faire quelque chose pour les dix incohérences que voici !

#1 : Ça sauve des vies via Skype

Bon, d’accord on dit Skype pour la blague, mais quand même : à quel moment c’est possible d’opérer des poumons en conférence vidéo ? Sachant que personne parmi eux n’a de diplôme en médecine, Nairobi a vraiment TROP confiance en ses coéquipiers. Surtout quand on sait que c’est le mec qui pète un câble pour un rien (coucou Denver) et celle qui décide de plaquer sa vie de rêve pour « un peu de frisson » (comment tu vas Tokyo ?) qui sont aux commandes de l’opération.

#2 : Denver qui s’appelle Ricardo… Ah non Daniel en fait

Il y a un point qu’on n’a pas trop compris : quel est le véritable prénom de Denver ? Ricardo ou Daniel ? Les paris sont lancés. Dans les premières saisons, Denver se prénomme Ricardo. Et dans la saison 4, Manille l’appelle « Dani », autrement dit Daniel. Pourquoi ce changement soudain par Netflix ? Vous savez quoi, de notre côté on a décidé de l’appeler Denver, c’est beaucoup plus simple.

#3 : Nairobi a ENCORE un peu trop confiance

On l’a dit précédemment, Nairobi donne vraiment sa confiance un peu trop vite. De une parce qu’elle accepte que ses collègues l’opèrent, et de deux parce qu’elle accepte aussi de se faire soigner… Par une otage ! Déjà, pourquoi l’otage est d’accord de sauver la vie de ses agresseurs ? Vous allez nous dire « bah parce qu’elle n’a pas envie de se faire tuer » : certes. Mais comment se fait-il qu’elle devienne limite leur BFF, jusqu’à être présente lorsque le Professeur expose son plan ultra secret pour vaincre Gandía ? Personne ne lui demande de sortir, elle est là en train d’écouter tout le plan. Personne n’a peur qu’elle le fasse fuiter.

#4 : Gandía, ce warrior

Parlons un peu de ce personnage complètement surréaliste. D’abord le mec se déboîte le pouce pour se libérer des menottes sans rechigner, mais en plus il n’a plus mal dans la seconde qui suit. Ce n’est pas le pire. Souvenez-vous de la scène de la fusillade juste après qu’il ait lancé une grenade dans un ascenseur. Gandía est seul face à ses ennemis qui lui tirent dessus. Miracle, il n’est pas blessé ! Le mec s’en sort en mode Lara Croft et retourne dans sa cachette. Franchement… T’aurais au moins pu te tordre la cheville pour donner un peu de réalisme.

#5 : L’ascenseur en béton armée

Nous venons tout juste de l’évoquer, un moment donné Gandía tente de tuer Denver et Rio en lançant une grenade dans l’ascenseur dans lequel ils sont. Tous les deux se retrouvent pris au piège puisque les portes viennent de se fermer. Badaboum, la grenade explose… Et ils survivent ? Comment ? En ayant tout simplement recouvert la grenade d’un casque et en se couchant sur celle-ci pour limiter la casse. On veut pas trop tenter l’expérience, mais on pense quand même que l’ascenseur aurait dû bien morfler suite à l’explosion. Tout comme les personnages.

#6 : Nairobi est une survivor

Bon, ce titre nous fait un peu rire quand on sait ce qui lui arrive, mais il n’empêche qu’elle a quand même une santé d’enfer. Rappelons qu’elle s’est fait tirer dessus au niveau du poumon. Un peu plus tard dans la saison 4, Gandía tente de l’étouffer avec un oreiller. Comment une personne, qui a du mal à respirer à cause d’une blessure au poumon peut rester en apnée aussi longtemps ? Nairobi, on veut connaitre ton astuce.

#7 : Gandía et la logique

Suite à l’échange qu’il y a eu entre Gandía et les braqueurs, celui-ci se retrouve grièvement blessé. C’est à ce moment qu’il a eu l’idée du siècle : « et si je me faisais soigner par la personne que j’ai pris en otage ? » Quel éclair de génie vraiment ! Parce que… Oh surprise, Tokyo termine par lui mettre un énorme coup lorsqu’elle était en train de soigner son bobo. En plus, demander à Tokyo de réparer sa blessure… On parle quand même de la personne qui a opéré via Skype et qui est très impulsive.

#8 : La foule est toujours présente

C’est une incohérence que nous avions déjà évoquée pour la saison 3. Mais les scénaristes semblent ne pas avoir compris la leçon. En effet, on avait trouvé totalement inconscient le fait que la police ne barre pas la route à la population et les laisse en spectateur devant la Banque d’Espagne. On souligne que la police et les braqueurs échangent des tires devant eux sans se dire « ah, mais on va peut-être tuer quelqu’un non ? ». Dans la saison 4, la population est toujours présente et fait même des câlins à Raquel, sans que la police ne fasse quoi que ce soit. Ils sont sympas quand même.

#9 : « Avoir un seul enfant de toi, ça fait longtemps que j’attendais… »

Dans la quatrième saison, Nairobi demande au Professeur d’avoir un enfant de lui. Gentil comme il est, il accepte alors qu’il a même pas demandé l’autorisation à Raquel, sa copine. Le pire, c’est que la scène d’après, Nairobi annonce en toute tranquillité à Raquel qu’elle va avoir un enfant… Sans préciser de qui ! Du coup elles font la fête pépouze ensemble pour célébrer tout ça. Nairobi, si t’étais une vraie BFF, t’aurais demandé à Raquel avant si elle était d’accord. Bon après on comprend, elle t’aurait peut-être fait la tête, mais c’est la moindre des choses !

#10 : Marseille qui fait Espagne – Algérie en 5 secondes

Non mais alors là, trop trop fort le mec. Le Professeur envoie Marseille en Algérie, qui n’est pas la porte d’à côté, et il y arrive en un temps record. On sait qu’il faut faire des sacrifices de temporalité pour respecter le nombre d’épisodes et le timing, mais faites un effort quand même… Mais s’il a vraiment fait Espagne – Algérie en un rien de temps, on veut bien le nom de la compagnie aérienne !

Alexis Savona

Alexis Savona

Journaliste

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