Twilight : la raison hilarante pour laquelle Emmett a un gros sachet d’œufs à la cafétéria

Au fil des années, les fans de Twilight ont été nombreux à avoir remarqué des petits détails incongrus dans la saga, à l’image du sac d’œufs durs qu’Emmett apporte à la cafétéria dans le premier volet. Un élément étonnant qui a fait couler beaucoup d’encre et auquel la réalisatrice Catherine Hardwicke a fini par réagir. Découvrez son explication !

Des petits détails intrigants ou ridicules, la saga Twilight en regorge ! Il n’est donc jamais étonnant de voir des fans découvrir de nouvelles erreurs, incohérences ou surprises dans les cinq films de la franchise inspirée par les romans de Stephenie Meyer. Il y a quelque temps, une utilisatrice de Tik Tok s’était ainsi interrogée sur la présence d’un sachet rempli d’œufs durs amené par Emmett à la cafétéria du lycée dans le premier volet. Et pour cause ! Les vampires se nourrissant exclusivement de sang, il semble complètement absurde que l’un d’eux se promène avec une telle dose de protéines à la main. Et quand bien même il s’agirait de leurrer ses camarades de classe, il faut admettre que la technique est étrange. 

Face à ce débat lancé sur la toile, la réalisatrice Catherine Hardwicke est venue apporter une réponse aux fans et l’explication est particulièrement drôle !

Emmett Cullen inspiré par son interprète Kellan Lutz dans Twilight

Interrogée par Insider concernant ce détail farfelu dans le film Twilight : Fascination, la cinéaste n’a pas cherché à conserver le mystère et a révélé toute l’histoire derrière ce paquet d’oeufs. « Un jour, j’ai vu Kellan se balader avec un sac d’une douzaine d’œufs durs », raconte-t-elle au sujet de l’acteur qui incarnait Emmett dans la saga. «J’étais là : ‘Qu’est-ce qui est en train de se passer ? Tu ne vas pas manger une douzaine d’œufs, si ?’ ». En réalité, le comédien devait s’astreindre à un régime ultra-protéiné dans le cadre de son entrainement physique pour camper l’impressionnant vampire et avait donc des consignes alimentaires très spécifiques. 

« Je n’avais jamais vu quelqu’un se promener avec un sac de congélation rempli d’une douzaine d’œufs pour les manger tout au long de la journée », poursuit Catherine Hardwicke. « Je riais tellement ! J’étais en mode : ‘OK, Emmett doit avoir ses œufs. Il faut que tu aies ça dans la scène, car c’est vraiment scandaleux ! ». 

Cette histoire d’œufs n’est donc ni une erreur, ni une incohérence, mais tout simplement un peu d’humour inspiré par Kellan Lutz, que la réalisatrice a voulu intégrer au long-métrage. Une anecdote plutôt sympathique en somme.