Avatar, le dernier maître de l’air : l’incroyable transformation physique de cette star de Netflix pour incarner le roi Bumi
Publié le Par Marion Le Coq
Aviez-vous reconnu Utkarsh Ambudkar, l’acteur de Mes premières fois, dans le rôle du roi Bumi ? L’acteur américain a dû subir une incroyable transformation pour se glisser dans ce rôle pour la série Avatar, le dernier maître de l’air. Détails.
Ceux qui sont familiers avec l’univers d’Avatar, le dernier maître de l’air savent que le roi Bumi n’est pas de la première jeunesse. Cet excentrique qui règne sur le Royaume de la Terre est âgé de 112 ans et, pourtant, dans l’adaptation en live-action de Netflix, il est campé par un acteur de 39 ans. C’est peut-être pour cette raison que les fans de Mes premières fois ont eu du mal à reconnaître Utkarsh Ambudkar dans le rôle.
Celui qui campe Manish, le love interest de Kamala dans la série de Mindy Kaling, Mes premières fois, est bel et bien celui qui se cache derrière le costume du roi Bumi. Pour incarner le personnage, Utkarsh Ambudkar a dû passer pas moins de 6 heures entre les mains d’artistes maquilleurs et de prothésistes, afin de se faire vieillir. Une information que l’acteur avait partagé lors du Comic Con de New York en octobre 2022.
Un roi Bumi légèrement différent dans la version Netflix d’Avatar, le dernier maître de l’air
A l’occasion de la sortie d’Avatar, le dernier maître de l’air sur Netflix, Uktarsh Ambudkar a posté, sur son compte Instagram, quelques souvenirs de tournage ainsi que plusieurs vidéos de son impressionnante transformation, que vous pouvez découvrir ci-dessous :
Par ailleurs, si Uktarsh Ambudkar a dû être transformé pour être physiquement conforme au personnage de l’anime, quelques changements ont été apportés au niveau de sa personnalité. Ainsi, et contrairement à l’œuvre originale, le roi Bumi éprouve une certaine animosité à l’égard de l’Avatar, Aang. De plus, la série de Netflix a choisi de ne pas garder son identité secrète bien longtemps. Des modifications justifiées par le créateur Albert Kim comme servant l’histoire qu’ils veulent raconter.
Marion Le Coq
Journaliste
