Buffy contre les vampires : James Marsters explique pourquoi c’était parfois difficile de jouer Spike

Buffy contre les vampires : James Marsters explique pourquoi c’était parfois difficile de jouer Spike

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Révélé grâce à son rôle de Spike dans Buffy contre les vampires, James Marsters admet que le tournage de la série culte ne fut pas toujours de tout repos. Au contraire, il se sentait parfois… en danger !

Les tournages de nos séries préférées ne sont pas toujours un long fleuve tranquille. Parfois de gros scandales éclatent en coulisses, et d’autres fois la pression est un peu lourde à supporter pour les acteurs. James Marsters, interprète de l’iconique Spike dans Buffy contre les vampires, s’est confié au site Digital Spy sur ce qu’il y avait de plus difficile pour lui à jouer un tel rôle. Il se souvient notamment que le créateur et showrunner Joss Whedon faisait des surprises « terrifiantes » concernant l’intrigue au cast.

« Il y a des moments où j’avais peur de lire le prochain script »

« Ce qui était dur est que Joss ne veut pas laisser le public tranquille. Il ne cherche pas à ce que les personnages soient tout le temps heureux, donc si tu mets vraiment tout ton coeur dans un rôle, ce qui était mon cas, ça peut faire mal » raconte James Marsters. On peut comprendre son inquiétude surtout quand on sait que le personnage de Spike n’était pas censé rester plus de quelques épisodes. Mais, devant l’engouement des fans, il est devenu un protagoniste majeur de la série.

James Marsters poursuit lors de son interview : « Il y a des moments où j’avais peur de lire le prochain script à cause de ce que Joss allait me faire ressentir la semaine suivante ». Malgré ses moments de doute et d’angoisse, l’acteur révèle avoir « apprécié chaque seconde » sur le tournage de Buffy qui était selon lui un moment « très inspirant » de sa carrière.

« Chaque acteur veut un rôle qui le mette au défi et lui demande beaucoup. Un rôle qui le fait aller quelque part où il n’irait pas en temps normal – à la fois physiquement et mentalement » conclut-il.

Eliott Azoulai

Eliott Azoulai

Journaliste

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