La Chronique des Bridgerton : qu'il y a-t-il dans le fameux thé de Marina Thompson ?

La Chronique des Bridgerton : qu’il y a-t-il dans le fameux thé de Marina Thompson ?

Si vous avez bingé La Chronique des Bridgerton après les fêtes de Noël, vous vous êtes peut-être demandés ce que cette chère Marina Thompson a mis dans son thé, dans l’épisode 7. Détails.

Attention, cet article contient des spoilers sur la saison 1 de La Chronique des Bridgerton.

La Chronique des Bridgerton c’est LA nouvelle série de Netflix qu’il ne fallait pas louper en ces fêtes de Noël de 2020. Et pour cause, non seulement il s’agit de la première production de Shonda Rhimes pour la plateforme de streaming mais c’est aussi une série qui se dévore parfaitement pendant ce coma entre Noël et le nouvel an.

On y suit les aventures de l’aristocratie britannique au début du XIXe siècle, et plus précisément de Daphné Bridgerton qui est en âge de faire ses débuts sur le marché du mariage. Ce Gossip Girl à la sauce Downton Abbey enchaîne les retournements de situations et autres twists dignes d’un soap. Parmi eux, il y a la révélation concernant Marina Thompson.

La vérité derrière le thé de l’épisode 7 de La Chronique des Bridgerton

Dès l’épisode 1, on découvre que Marina est enceinte et que c’est pour cette raison qu’elle a été envoyée chez les Featherington, ses cousins, pour tenter de trouver un mari avant que le scandale n’éclate. Mais, dans l’épisode 7 de La Chronique des Bridgerton, la jeune fille tente de mettre un terme à sa grossesse en avalant un thé bien spécial comprenant des pissenlits, des baies de genévrier et d’autres substances “abortives”, pour tenter de se débarrasser de son bébé.

Si on en croit Women’s Health, ces plantes peuvent être de la barbotine, du thuya, du mille-feuille… Toutes faciles à trouver et utilisées à l’époque par les femmes pour tenter d’avorter. Cependant, comme cela se vérifie pour Marina, leur efficacité n’est pas toujours garantie et peut même mettre gravement en danger la vie de la femme qui les ingère et c’est donc très déconseiller par le personnel médical.

Marion Le Coq

Marion Le Coq

Journaliste

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