La Petite Maison dans la Prairie : la raison pour laquelle Katherine MacGregor était « insupportable » sur le tournage

Dans son livre autobiographique, Alison Arngrim a révélé que Katherine MacGregor, qui jouait sa mère dans La Petite Maison dans la Prairie, avait une façon de travailler qui était très agaçante pour certains de ses collègues.

Le tournage de La Petite Maison dans la Prairie n’était pas aussi rose que cela laissait paraître. En effet, certains acteurs ne se cachaient pas pour montrer leur désintérêt envers leurs co-stars, et ce fut le cas de Richard Bull, l’interprète de Nels Oleson envers Katherine MacGregor lors de leur premier jour de tournage. Dans Confessions of a Prairie B****, Alison Arngrim a expliqué que l’interprète d’Harriet Oleson avait pour manie de diriger les acteurs juste avant une scène. Une habitude qui n’était pas bien reçue de la part de son partenaire de jeu.

Une manie qui énervait les acteurs de La Petite Maison dans la Prairie

Avant Hermione Granger dans Harry Potter, il y avait Katherine MacGregor dans La Petite Maison dans la Prairie. Dans son autobiographie, Alison Arngrim explique que sa co-star était une grande actrice de théâtre et qu’elle avait donc un penchant pour diriger les autres acteurs. « Qu’ils soient plus jeunes qu’elle, plus âgés, moins expérimentés ou plus expérimentés, elle disait comment ils devraient faire la scène, la façon dont ils devraient se tenir et quels accessoires ils devraient utiliser » .

Si elle pensait être de bons conseils, Alison Arngrim a précisé qu’elle imposait ses idées sans l’accord de ses partenaires de jeu, et qu’ils avaient tendance à prendre cela pour une critique. « Elle était très insistante et disait aux gens qu’ils ‘faisaient mal’« . Et la principale victime était Richard Bull, qui jouait son mari dans La Petite Maison dans la Prairie.

« Il avait expliqué dans une interview qu’il l’aimait beaucoup, mais que le premier jour du tournage, il avait dû lui dire : ‘Non, Katherine ». Tu ne me dis pas comment faire. Tu peux faire tout ce que tu veux, sauf ça' » . Mais cela ne l’a pas empêché de continuer à imposer ses idées. « Les conseils de Katherine n’étaient pas mauvais, ils étaient juste trop nombreux et non sollicités » a conclu Alison Arngrim dans son livre.