Comment Noah Centineo a prédit (malgré lui) son succès à ses parents

Noah Centineo a envahi les internets en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Chouchou du public Netflix depuis Sierra Burgess is a Loser et surtout A tous les garçons que j'ai aimés, le garçon multiplie les interviews car son parcours fascine. L'acteur est revenu par ailleurs sur le jour où il a décidé de partir à L.A. pour accomplir sa vocation...

Noah Centineo, au cas où cela vous avait échappé, est LA coqueluche du moment. Figure star des deux films Netflix A tous les garçons que j’ai aimés et Sierra Burgess is a Loser et également éternel Jesus Foster dans The Foster. Mais lorsqu’il était encore haut comme trois pommes, Noah Centineo ne pensait pas encore à avoir une carrière ou même jouer devant une caméra. Dans une anecdote livrée à Esquire, l’acteur a révélé comment tout a commencé… Par sa petite sœur Taylor et grâce à une innocente prédiction.

« Si je veux être acteur, je dois aller à L.A.. Si vous le faites, je le jure devant Dieu, je vais réussir.« 

Taylor Centineo, sœur de Noah, avait reçu une carte postale pour une audition. Une méthode publicitaire apparemment assez répandue aux Etats-Unis pour diffuser des auditions et castings. Les parents ont emmené leurs deux enfants à cette audition alors que Noah était totalement désintéressé. Cependant, le directeur de casting a été interpellés par le petit garçon de 8 ans et Noah a commencé à être séduit par le métier pour ne plus jamais le lâcher.

Il a alors déclaré à ses parents qu’il fallait pour lui déménager à Los Angeles et à l’instar de l’actrice Emma Stone, a expliqué point par point comment sa carrière pourrait réussir là-bas. Tellement convaincu de sa vocation et de son potentiel il a même prédit (malgré lui) son succès tonitruant qu’on lui connaît actuellement. L’acteur a confié avoir dit à ses parents : « Si je veux être acteur, je dois aller à L.A.. Si vous le faites, je le jure devant Dieu, je vais réussir. Je veux le faire pour le restant de mes jours. » L’acteur en a profité pour rendre hommage à ses parents et sa famille, sans qui de son propre aveu, il n’aurait jamais réussi dans le métier.

Chose dite, chose faite.